Un jardin d'agronomie tropicale à Paris de Nathalie Tirot

format 19 x 26 - 56 pages

Prix : 16,00 €

 

Dans le bois de Vincennes, se trouvent les vestiges d’un jardin peu connu et pourtant exceptionnellement chargé d’histoire. Ce jardin accueillit, tour à tour ou à la fois, des pavillons d’enseignement et de recherche, une Ecole d'agronomie tropicale, mais aussi une exposition coloniale, un hôpital de guerre, un Temple du souvenir et des monuments érigés en mémoire de ces soldats des troupes coloniales morts pour la France. Les serres, les pavillons, les monuments encore présents, certains restaurés, d'autres tombés en ruine, témoignent de toutes ces périodes qui ont fait l’histoire du jardin et cette identité particulière qui est la sienne.

Nathalie Tirot a exploré ce jardin pendant trois années. En intégrant dans ses propres images des cartes postales ou des photos anciennes, elle nous fait découvrir des bouts d'histoire de ce lieu méconnu en permettant qu’ainsi les strates temporelles s’interpénètrent et se confrontent. A nous ensuite de visiter ou de revisiter ce jardin, de le faire connaître, de sorte qu'au delà de ce beau travail photographique cette mémoire collective demeure.

Investie dans des associations (handicap, femmes battues), Nathalie Tirot essaie de défendre par le biais de la photo, les  personnes en difficulté, mais aussi
« toutes les femmes hors normes que l’on regarde à peine ou mal alors qu’elles ont tant de choses à nous apprendre ». Mettre en lumière les gens peu visibles ou les lieux méconnus ne procède-t-il pas finalement de la même démarche ?

https://nathalietirot.fr/

 

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© Nathalie Tirot

 


Faire écran de Christian Bousquet

format 13 x 19 - 106 pages

Prix : 13,00 €

 

Le smartphone, devenu appareil photo, s'insinue jusque dans les expos.  Pour prélever, collecter, garder en mémoire ? Partager aussi peut-être les œuvres qui plaisent ou étonnent ? Et chacun ou chacune de chercher le bon angle au risque de s'interposer entre une œuvre et les autres visiteurs. Ce ne sont plus alors seulement les visiteurs qui font écran lorsqu’ils sont trop nombreux, mais les écrans des smartphones renvoyant tout ou partie des œuvres...
… à moins qu'ils ne participent eux-mêmes à une mise en abyme, si un autre visiteur venait à user et abuser de son portable lui-aussi.
D'abord désorienté et quelque peu gêné par certains «photografieurs», Christian Bousquet s'est lui-même pris au jeu. Observant les regards, les corps, les attitudes, il est parvenu à surprendre une émotion, une tension et même parfois un moment d'intimité. A trop scruter les voyeurs, on le devient soi-même. Au risque de faire écran à son tour…


Christian Bousquet obtient le 21 juillet 1963 son Brevet de Nageur de Grand Fond. Il a été, en 1983, Lauréat de la Fondation Robert Capot-Rey visant à distinguer des travaux de recherche sur le Sahara. En 2003 pas d’événement notable, on attend 2023… Il a gardé de son enfance un certain goût pour la collection des images. Il vit à Marseille, sa tête est ailleurs.

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© Christian Bousquet

 


Derrière le silence

Textes de Jacques Péronne et photographies de Frédéric Laban

Préface de René Frégni

 

format 13 x 19 - 132 pages

Prix : 13,00 €

 

A proximité de Banon, un village fait la sieste. Si vous êtes curieux, vous aurez repéré une frange de ruines qui se découpe sur la crête de la colline. Un chemin silencieux vous conduira à un hameau abandonné. Comment ce vaisseau de calcaire s'est-il échoué sur ce rocher ? Quel naufrage ?
Soyez attentif : grâce aux confidences des pierres, vous entendrez d'étranges musiques. Choisissez un moment de pénombre, le vent vous fera peut-être cadeau d'une charge de nuages. Asseyez-vous sur une dalle. Si c'est une tombe, le locataire s'en réjouira.
Frédéric Laban m'a accompagné. Nous avons partagé les mêmes émotions. Pour ma part, devant des images si parlantes, un langage lapidaire s'est imposé, où domine le silence. A la recherche des partis-sans-laisser-d'adresse…
                    Jacques Péronne
               
Architecte dans le Luberon, Jacques Péronne arpente depuis toujours les chemins de la Haute Provence. Il dessine, peint et écrit des mots ciselés qu'on pourrait ici murmurer à voix basse.
Frédéric Laban, photographe humaniste et voyageur, a délaissé sa palette de couleurs pour le noir et blanc, qui était de mise.


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www.fredericlaban.com


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© Jacques Péronne et Frédéric Laban

 


Confinitude - Un ouvrage collectif

 

format 13 x 19 - 140 pages

Prix : 13,00 €

Ce livre ne ressemble à aucun autre.

D'abord parce qu'il rassemble les images de plus de cinquante photographes, des professionnels dont certains ont exposé dans des lieux réputés mais aussi de simples amateurs, des photographes de France et d'ailleurs : Italie, Algérie, Maroc, Congo, Chine, Japon et Brésil.

Ensuite parce qu'il a été conçu et réalisé dans des circonstances exceptionnelles pendant lesquelles le virus du Covid19 a entraîné le confinement de pays entiers.

Confinement sans délai et sans date. Sentiment étrange et vertigineux. Confinitude. Aux confins de soi. Le temps n'a plus la même épaisseur. L'humanité toute entière retient son souffle. Nos états et nos émotions se succèdent : peur, sidération, repli sur soi et... ouverture aux autres, besoin des autres, plus que jamais.

Ce livre n'est ni un reportage, ni un témoignage. Juste une trace, une mémoire de ce ressenti, de ces sentiments mêlés à une énorme envie de partage.

 

Confinitude est le neuvième ouvrage de cette petite collection et le premier à être un livre collectif.

 

 

 

 Photo de couverture : © Alain Robert

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© les auteurs

Pour en savoir plus sur le projet Confinitude : ICI